Peut-on se passer de Salesforce, des SMS, de WhatsApp ? Les insiders du CRM, Paris le 7 Juin
Pour 60 euros par mois, par collaborateur, peut-on séduire, personnaliser, engager… et conclure ? Le 7 juin, à Paris. (Les insiders du CRM.)
Porte de Versailles, hier, il y avait du monde, presque 8000 personnes annoncées selon les organisateurs. Et du big name : L’Oréal, Carrefour, Skis Rossignol, Zeplug... Sur la pelouse verte du terrain de jeu retenu par le champion mondial du CRM, pour sa grande rencontre annuelle, on a vu et entendu des démonstrations éloquentes, des consultants passionnés (Bearing Point, Accenture, CGI, Almavia CX, Niji), et des attachés de direction générale, tel Alexandre Chertok (Carrefour), relater les joies et les délais liés au déploiement d’un projet de déploiement de Salesforce.
On y était partis pour chercher des débuts de réponse à une question qui n’est pas anodine : un entrepreneur, soucieux de développer son entreprise et qui cherche donc à vendre plus loin que dans sa rue, en personnalisant le service et l’expérience, en récupérant légalement des données clients ou prospects, peut-il faire l’économie d'un CRM ? S’il dispose d’une market-place, que lui apporterait l’entreprise de Marc Benioff ? A quel prix: 60 euros par mois, est-ce cher, rentable ? Dans ce domaine, qui fait office de Lidl ?
Après notre première enquête : peut-on se passer de Genesys, venez découvrir, le 7 Juin, à Paris, les points de vue de dix dirigeants de PME et ETI et le point de vue de deux experts du marketing : Pierre Garrigues, CM.com, Jérémy Lellouche, Dataventure. Les deux ont en commun d’être indépendants, d’avoir roulé leur bosse dans l’écosystème du digital et de maitriser parfaitement les sujets de drive-to-store, de CpaaS, d’être au contact ou de servir quelques-uns des secteurs les plus challengés du moment : le retail, les concessionnaires automobile, la santé. Se passer de Salesforce et tout miser sur du SMS conversationnel, du RCS, une CDP (Customer Data Platform), est-ce jouer sa peau ?