La Samaritaine : comment joindre le service objets trouvés et perdus ?
On trouve tout à la Samaritaine. Y retrouve-t-on vite et facilement un objet auquel on tient et qu’on y aurait égaré, lors d’une visite ?
Soucieux de rendre compte de l’un des moments forts de l’expérience client et shopping de ce mois de Juin, à Paris -l’ouverture de la Samaritaine- nous sommes allés y faire du shopping, une visite et avons même testé le service Personal Stylist à domicile. Mais distraits que nous sommes, nous avons égaré un sac. Nous voilà lancés dans une aventure qui met à rude épreuve les sutures des parcours clients : tenter de joindre l’accueil et le service des objets trouvés.
Ce qu’il faut savoir en attendant de découvrir le récit de nos Mystery Shopping Adventures rue de Rivoli, dans les prochains Cahiers de l’expérience client.
L’accueil téléphonique de la Samaritaine répond, vite au 01 88 88 60 00. Le transfert vers le service objets trouvés est rapide également mais il était, semble-t’il, débordé au moment où nous avons tenté de le joindre, nous a confié la conseillère au charmant accent étranger qui a pris en charge notre demande. Les avis clients sur le site du grand magasin sont déjà nombreux, plutôt positifs. Sincères et authentiques ? Difficile de le savoir, tant les avis clients sont farcis de mensonges, quelles que soient les plateformes de recueil de ces derniers.
Le magasin appartient ou est géré par DFS, une société du groupe LVMH, au sein de laquelle un autre actionnaire est présent et toujours actionnaire, a priori à 31% : Robert Miller.
Peut-on y savourer un Kebab premium ou un Super Dangereux Kebab (lancé récemment par Hakim Jemili) ? Pour la réponse à cette question, rdv le 13 juillet… date de la sortie, en kiosques* -et de la diffusion- à nos 9000 lecteurs, du numéro 3 des Cahiers de l'expérience client. On y lira notamment une interview exclusive de Laurence Vanay, ou Jacqueline Thibault, l'ex épouse de Laurent Thibault qui nous a raconté ce qu'elle a vu, entendu et fait, joué au Château d'Hérouville, de 1975 à 1981. D'Avril à Juillet 1977, Ritchie Blackmore (Rainbow) joue très fort et enregistre notamment Kill the King, monument du hard rock, dans ce studio que la légende dit hanté et qui aura vu passer le gratin du rock français et mondial.
Les femmes en studio d'enregistrement ? Très présentes et oubliées souvent par l'histoire officielle. Un récit exclusif, un autre objet perdu.
*Le fanzine le plus incroyable, indépendant et déjanté sur les parcours clients, l'expérience patient, visiteurs etc, sera vendu -et c'est une 1ère mondiale- dans 2 kiosques en France.
Par la rédaction d’En-Contact