La force des discrets

Créée en 1989 par Serge Cordon, Cordon Electronics est le Numéro 1 de la maintenance des terminaux électroniques et du reconditionnement de smartphones et se situe dans le Top 5 européen de son secteur. A Dinan, dans une entreprise ultra-moderne et sécurisée, les palettes de box, de smartphones arrivent chaque jour par camions entiers et sont stockés avant leur réparation, celle-ci obéissant souvent à des protocoles ultra perfectionnés et minutieux.

Bien plus discrète que nombre de ses concurrents industriels (CTDI, A. Novo, SBE) ou grand public (Recommerce, Remade, Backmarket, etc…) qui peuvent d’ailleurs s’appuyer parfois sur elle, l’entreprise dispose d’un savoir-faire industriel et logistiques unanimement reconnus.
Pour ses 3 centres de contacts, localisés à Dinan, Bordeaux et Bucarest, chacun spécialisé sur une typologie de contacts et de prise en charge de clients, l’entreprise s’appuie sur la plateforme multi-canale éditée par Diabolocom.
Elle pilote, à la minute près, ses appels et est parvenue, grâce à cette collaboration ancienne, à des résultats probants : 95 % des appels répondus en moins de 30 secondes, 90 % des appels décrochés et 70 % de joignabilité sur les appels sortants.

Les propos de Frédéric Durand de Diabolocom :

« La priorité pour un acteur comme Cordon Electronics, c’est de pouvoir se concentrer sur son cœur de métier, et non sur la technologie liée au centre de contact.
Pour soutenir leur croissance, en France comme à l’international, une solution agile et scalable, capable de leur offrir une réactivité en accord avec leurs enjeux métiers est indispensable.
Mais la clé d’une expérience client différenciante, c’est la connaissance client au travers une solution ouverte, intégrée à l’ensemble des systèmes, du CRM à la logistique, qu’ils soient internes ou externes à l’entreprise. »

Retrouvez sur Diabolocom.com les autres cas clients, pourquoi chaque contact compte et comment nous pouvons vous aider à les prendre en charge et piloter.

Par la rédaction d’En-Contact

Photo de Une : Serge Cordon – © Edouard Jacquinet