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Love and Hate

Publié le 31 octobre 2016 à 13:40 par Magazine En-Contact
Love and Hate

Édito n°93 /

Un magazine de combats et de joie*

– « Salarié dans un centre d’appels, c’est le pire des jobs », dixit Xavier Niel à Society ; codeur informatique c’est mieux ?
Lire l’article (interview)

– Que penser du discours d’Emmanuel Faber à la diplômation d’HEC – qui a agité un temps la blogosphère – de la mise en difficulté de start-up très médiatisées, largement dotées en capital, dirigées par des jeunes hommes brillants et maitrisant tous les « codes » de l’économie digitale (telle Chictypes) ?
Le point de vue d’un entrepreneur du secteur et celui de la rédaction sur ces questions..

-Pourquoi et comment Coca-Cola confie-t-il l’animation de ses communautés digitales à CCA International, depuis Londres ? Découvrir notre reportage

– Pourquoi et comment de grands groupes de presse peuvent-ils se réveiller un matin et découvrir qu’ils ont égaré toutes leurs données abonnés, alors même que certains d’entre eux co-organisent une grand-messe célébrant les technologies…(Viva Technology)?
J’espère qu’en cette rentrée, après un été meurtrier, ce nouvel opus de notre magazine de combats et de joie vous aidera à vous informer, vous enrichir et divertir.

De la musique avant toute chose !

Il y a quarante ans, dans une maison de Californie, 2 couples qui se déchiraient et un de leurs amis s’escrimaient à jouer ensemble pour finir leur travail ; «la copie» qu’ils rendront sera l’un des albums les plus vendus de tous les temps et (selon moi et d’autres) un des monuments du soft rock californien. En réécoutant Rumours, de Fleetwood Mac, on a peine à croire que de telles harmonies aient pu naître dans une telle situation de tension et de conflits.
Il était attendu, après un premier disque d’anthologie, mais il a pris son temps. Il ose composer et jouer des morceaux de 10 minutes qui mixent soul et guitare à la David Gilmour. Il est discret. Des trucs à se faire excommunier de nos jours. En écoutant cet été, jusqu’à 12 fois par jour ? le dernier opus de Michael Kiwanuka, je me suis dit qu’il avait choisi un sacré bon titre, de circonstance:
« Love and Hate ».

*Ne m’appelez pas tant que vous n’avez pas écouté, acheté (j’ai pas dit « piraté » !) cette merveille, écouté les paroles de ce poète:
« Love and hate, how much more are we supposed to tolerate, You can’t steal the things that God has given to me ».

Manuel Jacquinet
Édito rédigé en août 2016

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